Publié le 24 mai 2022
C’est l’histoire d’Hélène, 48 ans, Master Finance en poche, qui débute un CDI à 26 ans dans une importante société où elle apprend le métier, le plaisir de travailler en équipe, et la satisfaction de relever des challenges. Défi encore plus grand, en 2004, lorsqu’elle quitte son emploi pour suivre son militaire de mari et élever deux enfants dans un pays du bout du monde. De retour en France une dizaine d’années plus tard, elle prend le pari d’aider une amie à «monter sa boîte». Puis, plus rien.
Jusqu’à ce jour de 2022 où Hélène pousse la porte de BGE ADIL. Comment retrouver une activité professionnelle à près de 50 ans ? Que vaut son diplôme ? Comment valoriser son expérience à l’étranger ? Que peut-elle offrir à une entreprise ? A des clients ?
Cette histoire pourrait être compléter par celle de Carole, 38 ans, mère de famille, qui souhaite créer son entreprise. Ou encore par celle de Sophie, 42 ans, qui cherche une autre voie pour donner un élan à sa vie professionnelle.
Faut-il proposer un accompagnement à la création d’entreprise « au féminin » ? Doit-on considérer des aspects spécifiques aux projets professionnels des femmes ? Peut-on qualifier un bilan de compétences de féminin ?
Chez BGE ADIL, les femmes représentent plus de 50% des milliers d’entreprenants accompagnés chaque année. L’expérience de l’accompagnement entrepreneurial et des bilans de compétences auprès des femmes témoigne de spécificités… féminines.
Voici quelques thématiques prégnantes lors de l’accompagnement à la création d’entreprise ou au cours d’un bilan de compétences d’une femme.
Organiser son temps : la gestion des journées et la priorisation des tâches sont largement étudiées avec l’entrepreneuse (orthographe du Larousse !). Les rôles de mère, d’épouse doivent bien souvent cohabiter avec celui de chef d’entreprise. Selon une égale exigence.
Entreprendre par nécessité (vs par opportunité) : les femmes difficilement employables ou avec un haut niveau de qualification entreprennent souvent par réaction à des écarts de salaire, au besoin de flexibilité des horaires … La posture entrepreneuriale est à challenger en conséquence.
Valoriser un CV à trous : congé parental, pause professionnelle, expatriation du conjoint correspondent à des périodes sans emploi. Mais pas sans actions ! La valorisation des activités extra-personnelles, des missions de bénévolat et d’expériences à l’étranger est déterminante dans les bilans de compétences des femmes.
Se réaliser, s’épanouir : la volonté d’épanouissement personnel et de la réalisation de soi arrivent souvent avant les motivations matérielles ou de challenges. Une réflexion en amont sur ses aspirations profondes et ses sources de plaisir dans le travail est largement approfondie pour aboutir à un projet professionnel équilibré.
Chez BGE ADIL, pas de parcours ou de bilans de compétences féminins. L’expérience de l’accompagnement entrepreneurial depuis 1980 et la rencontre de milliers de porteurs de projets professionnels a enseigné l’adaptation face des profils multiples et à la prise en compte de spécificités. Comme celle d’être une femme entrepreneuse ou active. Celle de BGE ADIL est de révéler ses atouts.
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