Publié le 3 mai 2009
Michel Saliba : Le conseil en achats et gestion de projets dans les domaines des télécoms et de l’informatique.
M.S. : Ingénieur / Chef de projet Logiciel (CAP GEMINI puis ORANGE), Corporate Buyer (Acheteur Groupe FT / Orange).
M.S. : Ayant eu l’occasion de travailler sur plusieurs projets d’envergure internationale (en France comme à l’étranger) où j’ai été en contact avec plusieurs consultants, entités et fournisseurs, j’ai souhaité de travailler en tant que consultant pour avoir plus de souplesse et de liberté.
M.S. : Pour savoir ce qu’est une entreprise et connaître plus le monde des affaires.
M.S. : Je ne savais quelles étaient les étapes obligatoires à effectuer pour créer une société ni les conséquences sociales et fiscales en résultant.
M.S. : J’ai rencontré la cellule Essaimage de France Telecom qui m’a proposé de contacter ADIL afin de m’accompagner dans ma démarche de création.
M.S. : J’ai eu 2 formations ; l’une m’a permis de savoir ce que c’est un bilan, un compte de résultat, un plan d’investissement, la trésorerie… enfin tout ce qui est nécessaire pour la définition d’un business plan financier et pour la gestion financière d’une société. La 2ème formation m’a permis de comprendre les différents statuts juridiques d’une société ainsi que leurs conséquences sur les conditions sociales et fiscales. J’ai eu aussi l’occasion d’avoir des entretiens individuels pour m’aider à définir la démarche commerciale et à la définition de mon business plan.
M.S. : Avoir une bonne vision sur tout ce qui est indiqué ci-dessus.
M.S. : Dans la définition du business plan, le choix et la rédaction des statuts de la société. J’ai eu une identification claire de tout ce qu’il fallait faire pour créer une société ainsi qu’une visibilité sur toutes les charges et obligations administratives (URSSAF, impôts,…) pour les premières années.
M.S. : Absolument. Sinon, on serait moins efficace et on ne saurait pas par où commencer ni vers où aller.
M.S. : Dès le premier contact on se crée une idée de ce qu’est un entrepreneur. L’idée se développe au fur et à mesure d’avancement dans le projet et l’accompagnement pour arriver à avoir un sentiment plus confiant le jour du dépôt du dossier au CFE (Centre de Formalité des Entreprises).
M.S. : Oui. Je pense que les conseillers d’ADIL peuvent beaucoup apporter à un créateur d’entreprise même après la création.
M.S. : Avoir un projet réaliste et bien défini. Connaître bien son marché et surtout les produits et les services qu’il souhaite commercialiser. Avoir un business plan qui tient la route. Les conseillers d’ADIL l’aideront beaucoup sur tous ces aspects ainsi que pour créer et gérer une entreprise ; il ne faut pas avoir peur de cet « inconnu », par contre il faut bien se préoccuper de l’obtention des affaires…
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